Alderica
les vins d’exceptions du château de gaure

Pour rendre hommage à la légende locale de la princesse Aldérica, ces cuvées d’exception sont le fruit du travail sans concession Pierre Fabre.

Pour chaque millésime Pierre Fabre choisi une ou deux barriques d’exception, ainsi il crée la cuvée ALDERICA, parfois rouge, parfois blanc. Si le millésime n’offre pas de vin jugé par Pierre Fabre comme “d’exception”, il n’y aura pas d’Alderica.

Les millésimes à découvrir :

ALDERICA ROUGE 2011
ALDERICA « Arnaud ROUGE 2018 »
ALDERICA « Arnaud Blanc 2019 »
ALDERICA « Grand Chardonnay 2019 »
ALDERICA « Grand Chenin 2019 »

Retrouvez-les sur notre boutique

La cuvée Aldérica, et sa légende

A mi-chemin entre Carcassonne et Limoux s’élevait depuis la Préhistoire un important oppidum. Occupé plus tard, selon la tradition, par les Romains, les Wisigoths puis les Arabes, il aurait été détruit par le Duc d’Aquitaine en 719.

 

Il y a bien longtemps, dans cette citadelle, vivait une belle et souriante jeune fille, nommée Aldérica, qui était la fille du roi des Wisigoths. Aldérica et les habitants de cette ville vivaient heureux, jusqu’au jour où de barbares cavaliers, les Sarrasins, envahirent le royaume et assiégèrent la cité.

 

Courageusement défendue par Aldérica et les siens, la cité repoussa tous les assauts. Mais les Sarrasins entassèrent du bois devant les portes de la ville et y mirent le feu. Les portes consumées, ils se ruèrent dans la ville.

Submergés par le nombre, les défenseurs furent vite massacrés. Aldérica profita d’un court répit laissé par les Maures occupés à piller et incendier : elle se réfugia avec les femmes et les enfants dans la chapelle située au sommet de la ville.

 

Quand la porte de la chapelle céda, Aldérica se trouva face au chef des Sarrasins. Celui-ci, fasciné par sa beauté, l’entraîna dehors et tenta de l’embrasser. Folle de honte, Aldérica repoussa violemment l’émir qui alla s’empaler sur l’épée d’un de ses gardes.

 

Alors, les Sarrasins, furieux, vengèrent leur chef en perçant la jeune fille de vingt coups de lances. Le sang versé sur la terre devait faire un miracle. Là où était tombée la jeune fille, poussa un genévrier, toujours vivant douze siècles après et toujours vert, même au cœur de l’été. Cet arbre est comme l’espoir du peuple Occitan, qui malgré le feu et les ruines, relève la tête. Vous qui passez par-là, admirez cet arbre et trempez-y votre âme. En pensant au passé, construisez l’avenir. Tôt ou tard, le peuple Occitan aura la place qu’on lui a volé.

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